Conseils pour...
Le 27 septembre dernier s'est déroulé le Point Rencontre Famille, organisé par l'AFTC-LR (Association France Traumatisés Crânien -...
Les accidents de la vie correspondent à plusieurs réalités factuelles, il peut s’agir d’accidents dit domestiques (tels que chutes accidentelles, brulures) d’accidents de sport, d'accidents survenus dans le cadre de la scolarité.
L’indemnisation des conséquences de ces accidents différe selon qu’un tiers est ou non à l’origine du fait accidentel.
En présence d’un tiers responsable, deux situations peuvent se présenter :
Lorsqu’un tiers fautif ou non est à l’origine du dommage, son assurance de responsabilité civile va pouvoir être mobilisée, amiablement ou judiciairement, pour obtenir réparation des conséquences du fait accidentel.
Il en va tout autrement lorsqu’aucun tiers n’a joué de rôle dans la survenance de l’accident, c’est le cas notamment des chutes purement accidentelles dont les conséquences peuvent être importantes.
Dans cette hypothèse, deux situations se présentent :
La tendance actuelle tend à une multiplication voire une généralisation des GAV.
Toutefois, tous les contrats couvrants les accidents de la vie ne sont pas identiques et nécessitent donc une lecture attentive et une interprétation juridique afin de connaître précisément les conditions d’application du contrat et l’étendue de la réparation à laquelle la victime peut prétendre qui est rarement une réparation intégrale.
Ainsi, la plupart des contrats ne prennent pas en charge les conséquences corporelles minimes (absence de séquelles physiques ou séquelles peu importantes), d’autres indemnisent les séquelles forfaitairement et non au regard de la situation personnelle de la victime, d’autres encore limitent l’indemnisation à certains postes de préjudices en excluant d’autres.
Victime d'un accident de la vie courante, n'hésitez pas à contacter un avocat spécialiste.